En collaboration avec QS, Cambridge English présente sa première étude sur le niveau d’anglais des salariés à travers le monde. Cette étude a été réalisée sur un panel de 5000 employeurs dans 38 pays, et enrichie par les analyses de Cambridge English.
English at Work démontre l’importance de l’anglais en milieu professionnel, une réalité partagée par deux tiers des employeurs. Quel que soit le secteur d’activité, il y a une réelle différence entre le niveau d’anglais demandé par les employeurs et les compétences réelles des salariés.
Pourtant, la moitié des employeurs offrent une rémunération supérieure aux candidats ayant une bonne maîtrise de l’anglais. Ce sont ces mêmes salariés qui ont de surcroit plus de chance d’évoluer dans leur entreprise, tant au niveau des postes que du salaire.
En France, l'écart entre le niveau d’anglais nécessaire et le niveau réel est particulièrement important dans les fonctions Production, Comptabilité et Ressources Humaines alors que les fonctions de la vente & marketing et bien entendu de direction se défendent bien. Une explication peut être trouvée dans la moindre exigence quant au niveau d’anglais des étudiants dans les établissements d’enseignement supérieur de ces disciplines, par opposition aux grandes écoles de commerce et de management notamment. Dans les écoles d’ingénieurs en particulier, les coefficients de l’anglais au concours sont faibles, en particulier en admission sur titre, et si les diplômés ont en effet le niveau B2 à prouver à la sortie de l’école (cf. texte CTI), il est bien souvent obtenu grâce au bachotage d’un test.